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Le G20 Finances présente un programme de réformes structurelles sur la numérisation et le climat, après la conférence COVID-19

English version to the suite  Lors de leur réunion des 10 et 11 juillet 2021, les ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales du G20 ont adopté un communiqué dans lequel ils s’engagent à mettre en œuvre des réformes structurelles pour faire face à la numérisation ...

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English version to the suite  Lors de leur réunion des 10 et 11 juillet 2021, les ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales du G20 ont adopté un communiqué dans lequel ils s’engagent à mettre en œuvre des réformes structurelles pour faire face à la numérisation et au changement climatique, et ouvrent la voie à une réforme des règles internationales en matière d’imposition des sociétés.
Le mandat principal du G20 Finances est d’assurer la coordination des politiques fiscales et macroéconomiques afin de soutenir la croissance.
Lors de leur réunion de la semaine dernière, les ministres ont réaffirmé leur engagement à ne pas répéter les erreurs du passé et à « soutenir la reprise, en évitant tout retrait prématuré des mesures de soutien ».
Les ministres ont reconnu l’impact fortement asymétrique de la Covid-19, les « grandes divergences entre les pays et à l’intérieur de ceux-ci », et se sont engagés à se concentrer « sur les personnes les plus touchées, telles que les femmes, les jeunes et les travailleurs informels et peu qualifiés ».
En ce qui concerne la gestion de la pandémie de COVID-19, les ministres ont reconnu que les vaccins COVID-19 doivent être considérés comme un « bien public mondial » et ont réitéré leur soutien aux efforts de collaboration, en particulier à l’Accélérateur pour l’accès aux outils COVID-19 (ACT-A).
Les ministres se sont engagés à contribuer à « diversifier la capacité mondiale de fabrication de vaccins et à renforcer les systèmes de santé » et à « donner la priorité à l’accélération de la fourniture de vaccins, de diagnostics et de thérapies ».
Toutefois, les ministres n’ont pas approuvé la demande de dérogation à l’accord sur les ADPIC à l’OMC, qui permettrait d’augmenter rapidement et à moindre coût la production et la distribution de vaccins dans les pays en développement.
Le communiqué salue le groupe indépendant de haut niveau du G20 sur le financement des fonds communs mondiaux pour la préparation et la réponse aux pandémies (G20-HLIP) et ses recommandations, mais ne prend aucun engagement quant à la mise en œuvre des mesures proposées.
Le G20-HLIP a publié ses recommandations dans son rapport de juin 2021, appelant le G20 à combler quatre lacunes majeures dans la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies en assurant : une surveillance et une recherche en réseau au niveau mondial ; des systèmes nationaux résilients ; la fourniture de contre-mesures et d’outils médicaux ; et enfin un système de gouvernance mondial.
Les ministres se sont engagés à collaborer avec les partenaires concernés, en particulier l’OMS, afin d’élaborer des propositions de financement durable et d’améliorer la gouvernance et la coordination internationales en attendant des propositions concrètes lors de la réunion conjointe des ministres des finances et de la santé du G20 en octobre.
Les ministres ont adopté un certain nombre de documents sur les « défis préexistants » à la pandémie de grippe aviaire de 19 ans, tels que la faible croissance de la productivité, l’augmentation des inégalités, les risques liés au climat et à l’environnement et le déficit de financement des infrastructures.
En ce qui concerne la fiscalité et la numérisation, les ministres des finances ont approuvé la déclaration adoptée par 131 pays dans le cadre inclusif OCDE/G20 sur le BEPS et ont invité les 8 pays restants à se joindre à l’accord du 1er juillet 2021 sur la réforme des règles internationales en matière d’impôt sur les sociétés.
Le « premier pilier » de la feuille de route vise à réaffecter une partie des bénéfices des entreprises multinationales aux juridictions des consommateurs – 20 à 30 % des bénéfices au-delà de 10 % de rentabilité – afin de tenir compte de la numérisation de l’économie.
Le « deuxième pilier » devrait introduire le droit garanti pour le gouvernement de « réimposer » les bénéfices réalisés à l’étranger sur la base d’un taux d’imposition minimum. D’autres travaux et négociations suivront, et les responsables financiers du G20 ont appelé à « traiter rapidement les questions restantes et à finaliser les éléments de conception (…) d’ici à notre prochaine réunion en octobre ». Les ministres ont approuvé un « Menu d’options politiques du G20 Transformation numérique et redressement de la productivité« , présenté comme une « contribution à nos futurs travaux sur la productivité ».
Le rapport couvre un large éventail de questions, élaborées en dehors des processus de dialogue social, dont beaucoup relèvent du volet « emploi » du G20, où les partenaires sociaux et le L20 en particulier ont un rôle à jouer.
Les recommandations politiques couvrent l’apprentissage tout au long de la vie, la capacité d’adaptation des PME, les infrastructures numériques, la concurrence, la collecte de données et la protection de la vie privée, ainsi que le financement des biens immatériels.
En ce qui concerne les « options » de financement du G20 sur le « renforcement de la protection sociale et des réglementations du marché du travail », certaines des propositions soulèvent des inquiétudes.
Une formulation ambivalente sur la flexibilité suggère que la création d’une troisième catégorie de travailleurs serait souhaitable, tandis que la question cruciale de la classification erronée n’est pas du tout abordée.
Une grande partie des options politiques découle des contributions écrites de l’OCDE au groupe de travail du G20 sur le cadre financier.
Le rapport final intègre la plupart des recommandations de l’OCDE, à l’exception notable de la mauvaise classification des travailleurs et, tout aussi important, de la question de la négociation collective et du rôle des institutions du marché du travail.
Le G20 Finances a également marqué le lancement de la révision des Principes de gouvernement d’entreprise G20/OCDE, révisés pour la dernière fois en 2015.
Avant la réunion du G20 Finances, l’OCDE a publié un rapport sur l ‘avenir de la gouvernance d’entreprise sur les marchés de capitaux après la crise du COVID-19, qui suggère un processus de révision du texte.
Il n’y a pas de nouvel engagement sur la lutte contre le changement climatique en particulier.
Les ministres des finances du G20 se sont plutôt engagés à soutenir « une analyse plus approfondie (…) de l’impact des plans de relance et des politiques d’adaptation et d’atténuation sur le climat et l’environnement, ainsi que sur l’emploi, la croissance et l’équité, l’utilisation de mécanismes de tarification du carbone et d’incitations, tout en apportant un soutien ciblé aux plus pauvres et aux plus vulnérables » et à « éclairer notre discussion sur le dosage approprié des politiques pour façonner des transitions justes et ordonnées vers une économie à faibles émissions de gaz à effet de serre, plus prospère, durable et inclusive, en tenant compte des circonstances nationales ».
Lors de la prochaine réunion du groupe financier du G20, le sous-groupe du G20 sur la finance durable devrait publier un rapport sur une nouvelle « feuille de route pluriannuelle du G20 sur la finance durable », en mettant l’accent sur le climat.
Outre le rapport intérimaire du Conseil de stabilité financière sur les enseignements tirés de la pandémie de grippe A (COVID-19) du point de vue de la stabilité financière, le G20 Finances a également fait le point sur les initiatives en cours liées, entre autres, au programme politique du G20 sur le maintien des infrastructures, au Groupe d’action financière, à la recommandation de l’OCDE sur la littératie financière et au Partenariat mondial pour l’inclusion financière.
Les discussions sur la réglementation des institutions financières non bancaires – communément appelées « shadow banking » – se poursuivront.
Les ministres des finances du G20 ont encouragé le FMI à aller de l’avant dans la révision des limites d’accès et des surcharges pour les emprunteurs, qui créent toutes deux des charges et des limites pour les pays à revenu intermédiaire dont les perspectives économiques sont difficiles.
Le G20 a réitéré son soutien à l’émission de droits de tirage spéciaux du FMI et s’est montré ouvert à la création d’un nouveau fonds fiduciaire du FMI pour soutenir la reprise économique durable, la santé et le climat. Les droits de tirage spéciaux accordés aux pays riches pourraient être réaffectés à ce fonds, mais aucun objectif n’a été fixé.
Le communiqué fait état de la lenteur des progrès accomplis en matière d’allégement de la dette au titre du cadre commun pour les pays couverts par l’initiative, ainsi que de la question imminente de la participation des créanciers privés et de l’extension de l’allégement à tous les pays à revenu intermédiaire.
Les options permettant de financer le développement et le redressement tout en promouvant la stabilité, y compris une taxe sur les transactions financières et un mécanisme permanent d’amortissement de la dette souveraine, ne sont pas abordées.

Le G20 Finances présente un programme de réformes structurelles sur la numérisation et le climat, post-Covid19

Lors de leur réunion des 10 et 11 juillet 2021, les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales du G20 ont adopté un communiqué soulignant un certain nombre d’engagements à engager des réformes structurelles à la lumière de la numérisation et du changement climatique, et ont ouvert la voie à une réforme des règles internationales d’imposition des sociétés.
Le mandat clé du G20 Finances est d’assurer la coordination des politiques budgétaires et macroéconomiques pour soutenir la croissance.
Lors de leur réunion de la semaine dernière, les ministres ont réaffirmé leur engagement à ne pas répéter les erreurs du passé et à « soutenir la reprise, en évitant tout retrait prématuré des mesures de soutien ».
Les ministres ont reconnu le fort impact asymétrique de la COVID-19, les « grandes divergences entre et dans les pays », et se sont engagés à se concentrer « sur les personnes les plus touchées, telles que les femmes, les jeunes et les travailleurs informels et peu qualifiés ».
Concernant la gestion de la pandémie de COVID-19, les ministres ont reconnu que les vaccins COVID-19 doivent être considérés comme un « bien public mondial » et ont réitéré leur soutien aux efforts de collaboration, notamment à l’Accélérateur d’accès aux outils COVID-19 (ACT-A).
Les ministres se sont engagés à contribuer à « diversifier la capacité mondiale de fabrication de vaccins et à renforcer les systèmes de santé » et à « donner la priorité à l’accélération de la fourniture de vaccins, de produits diagnostiques et thérapeutiques ».
Toutefois, les ministres n’ont pas réussi à approuver la demande de dérogation à l’Accord sur les ADPIC à l’OMC, qui permettrait d’augmenter rapidement et à moindre coût la production et la distribution de vaccins dans les pays en développement.
Le communiqué salue le groupe d’experts indépendants de haut niveau du G20 sur le financement des biens communs mondiaux pour la préparation et la réponse aux pandémies (G20-HLIP) et ses recommandations, mais ne prend aucun engagement quant au suivi des mesures proposées.
Le G20-HLIP a publié ses recommandations dans son rapport de juin 2021, appelant le G20 à combler quatre lacunes majeures dans la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies en assurant : une surveillance et une recherche en réseau au niveau mondial ; des systèmes nationaux résilients ; la fourniture de contre-mesures et d’outils médicaux ; et enfin un système de gouvernance mondial.
Les ministres se sont engagés à collaborer avec les partenaires concernés, notamment l’OMS, pour élaborer des propositions de financement durable et améliorer la gouvernance et la coordination internationales en attendant des propositions concrètes lors de la réunion conjointe des ministres des Finances et de la Santé du G20 en octobre.
Les ministres ont adopté un certain nombre de résultats sur les « défis préexistants » à la pandémie de Covid-19, tels que la faible croissance de la productivité, l’augmentation des inégalités, les risques liés au climat et à l’environnement, et le déficit de financement des infrastructures.
En ce qui concerne la fiscalité et la numérisation, les ministres des finances ont approuvé la déclaration adoptée par 131 pays du cadre inclusif OCDE/G20 sur le BEPS et ont invité les 8 pays restants à se joindre à l’accord du 1er juillet 2021 sur une réforme des règles internationales de l’impôt sur les sociétés. Le « Pilier 1 » de la feuille de route vise à réaffecter une partie des bénéfices des entreprises multinationales aux juridictions des consommateurs – 20 à 30 % des bénéfices au-delà de 10 % de rentabilité – pour tenir compte de la numérisation de l’économie.
Le « deuxième pilier » devrait introduire le droit sécurisé pour le gouvernement de « taxer en retour » les bénéfices réalisés à l’étranger sur la base d’un taux d’imposition minimum.
D’autres travaux et négociations suivront, et le G20 Finances appelle à « traiter rapidement les questions restantes et à finaliser les éléments de conception (…) d’ici notre prochaine réunion en octobre ».
Les ministres ont approuvé un « Menu des options politiques du G20 – Transformation numérique et redressement de la productivité », qui est présenté comme une « contribution à nos futurs travaux sur la productivité ».
Le rapport couvre un large éventail de questions, élaborées en dehors des processus de dialogue social, dont beaucoup relèvent du volet emploi distinct du G20, où les partenaires sociaux et le L20 en particulier ont un rôle à jouer.
Les recommandations politiques couvrent l’apprentissage tout au long de la vie, l’adaptabilité des PME, les infrastructures numériques, la concurrence, la collecte de données et la confidentialité des données, ainsi que le financement des biens immatériels.
En ce qui concerne les « options » financières du G20 sur le « Renforcement de la protection sociale et des réglementations du marché du travail », certaines des propositions suscitent des inquiétudes.
Une formulation ambivalente sur la flexibilité suggère que la création d’une troisième catégorie de travailleurs serait souhaitable, tandis que la question cruciale de la mauvaise classification n’est pas du tout abordée.
Une grande partie des options politiques découle des contributions écrites de l’OCDE au groupe de travail sur le cadre financier du G20.
Le rapport final reprend la plupart des recommandations de l’OCDE, à l’exception notable de la classification erronée des travailleurs et, tout aussi importante, de la question de la négociation collective et du rôle des institutions du marché du travail.
Le G20 finance a également marqué le lancement de la révision des Principes de gouvernement d’entreprise du G20/OCDE, dont la dernière révision remonte à 2015.
Avant la réunion du G20 Finances, l’OCDE a publié un rapport sur l’avenir du gouvernement d’entreprise sur les marchés de capitaux après la crise du COVID-19 qui suggérait un processus de révision du texte.
Il n’y a pas de nouvel engagement concernant spécifiquement la lutte contre le changement climatique.
Les ministres des finances du G20 se sont plutôt engagés à soutenir « une analyse plus approfondie (…) de l’impact des plans de relance et des politiques d’adaptation et d’atténuation sur le climat et l’environnement, ainsi que sur l’emploi, la croissance et l’équité, l’utilisation de mécanismes de tarification du carbone et d’incitations, tout en apportant un soutien ciblé aux plus pauvres et aux plus vulnérables » et à « éclairer notre discussion sur le dosage approprié des politiques pour façonner des transitions justes et ordonnées vers une économie à faibles émissions de gaz à effet de serre, plus prospère, durable et inclusive, en tenant compte des circonstances nationales ».
Lors de la prochaine réunion du groupe financier du G20, le sous-groupe du G20 sur la finance durable devrait publier un rapport sur une nouvelle « feuille de route pluriannuelle du G20 sur la finance durable », en mettant l’accent sur le climat. Outre le rapport intermédiaire du Conseil de stabilité financière sur les enseignements tirés de la pandémie de COVID-19 du point de vue de la stabilité financière, le G20 Finances a également fait le point sur les initiatives en cours liées, entre autres, au programme politique du G20 sur la maintenance des infrastructures, au Groupe d’action financière, à la recommandation de l’OCDE sur l’éducation financière, au Partenariat mondial pour l’inclusion financière.
Les discussions sur la réglementation des institutions financières non bancaires – communément appelées shadow banking – se poursuivront.
Les ministres des finances du G20 ont encouragé l’IGF à avancer dans la révision des limites d’accès et des surcharges pour les emprunteurs, qui créent toutes deux des charges et des limites pour les pays à revenu intermédiaire dont les perspectives économiques sont difficiles.
Le G20 a réitéré son soutien à l’émission de droits de tirage spéciaux du FMI et s’est montré ouvert à la création d’un nouveau fonds fiduciaire du FMI pour soutenir la reprise économique durable, la santé et le climat.
Les droits de tirage spéciaux émis en faveur des pays riches pourraient être réaffectés à ce fonds fiduciaire, mais aucun objectif n’a été fixé.
Le communiqué reflète la lenteur des progrès accomplis en matière d’allégement de la dette au titre du cadre commun pour les pays couverts par l’initiative, ainsi que la question imminente de la participation des créanciers privés et de l’extension de l’allégement à tous les pays à revenu intermédiaire.
Les options permettant de financer le développement et le redressement tout en favorisant la stabilité, notamment une taxe sur les transactions financières et un mécanisme permanent de règlement de la dette souveraine, ne sont pas abordées.