Deux confédérations syndicales latino-américaines ont rejoint le TUAC le 16 décembre. La Confederación de Trabajadores Rerum Novarum (CTRN) du Costa Rica et la Central Autónoma de Trabajadores del Perú (CATP) sont devenues officiellement affiliées au TUAC lors de la 155ème session plénière. Ces nouvelles affiliations reflètent la volonté du TUAC d’assurer l’engagement de l’OCDE auprès du mouvement syndical latino-américain. Alors que le Costa Rica deviendra le nouvel État membre de l’Organisation en 2021 et que le Pérou est désormais un pays en voie d’adhésion à l’OCDE, il est essentiel que les représentants des travailleurs de ces pays soient entendus au niveau de l’OCDE. Le CTRN a rejoint le TUAC en tant que membre affilié à part entière et la CATP en tant que membre associé. Le CTRN et la CATP ont tous deux pris la parole lors de la récente manifestation organisée par le TUAC en marge du Sommet ministériel de l’OCDE sur l’inclusion sociale, soulignant l’importance cruciale de veiller à ce que les droits des travailleurs latino-américains restent strictement à l’ordre du jour à mesure qu’un plus grand nombre de leurs États rejoignent l’OCDE ou y accèdent.
L'ajout du CTRN et du CATP renforce considérablement la représentation des travailleurs d'Amérique latine par le TUAC. Ces affiliations apportent des perspectives cruciales de régions confrontées à des défis économiques uniques, ce qui nous permet de défendre de manière plus complète les intérêts des travailleurs dans les discussions politiques de l'OCDE,
Grâce à ces nouveaux partenariats, le TUAC continuera d’apporter les perspectives syndicales aux débats politiques de l’OCDE, en veillant à ce que les voix des travailleurs latino-américains contribuent à façonner les discussions qui affectent leur région.
La force du travail du TUAC réside dans la combinaison de notre expertise politique et de l'expérience concrète de nos affiliés. La compréhension par le CTRN et le CATP de leurs contextes nationaux sera cruciale lorsque nous nous efforcerons de faire en sorte que les politiques de l'OCDE reflètent mieux les besoins des travailleurs,
