Le 19 mai, le TUAC a réuni pour la première fois son nouveau réseau de jeunes. Ce groupe de jeunes militants syndicaux, d’économistes et de coordinateurs de jeunesse contribuera à définir la position du TUAC sur une meilleure reprise et des emplois de qualité pour les jeunes. La génération qui est entrée sur le marché du travail pendant la crise financière, il y a plus de dix ans, a été durement touchée par ses effets. Les réformes structurelles permettant une plus grande flexibilité du marché du travail sans ajouter de mesures de soutien et de contrôle des employeurs ont aggravé l’impact de la crise. Nombre de ces réformes s’inspiraient des recommandations de l’OCDE. Le moment est venu de corriger le passé et d’adopter de meilleurs cadres politiques pour l’avenir – avec le dialogue social et la négociation collective comme piliers centraux. Le réseau des jeunes aura une double fonction :
- Échanger entre vous et contribuer à l’élaboration des positions politiques du TUAC
- Contribuer aux travaux de l’OCDE et faire entendre leur voix.
Au cours de la réunion, les membres ont identifié plusieurs questions qui nécessitent une attention politique sérieuse :
- Qualité et coût de l’éducation – y compris la dette d’études
- Absence d’aides directes au revenu suffisantes, en particulier pendant la crise
- Des qualifications de plus en plus exigeantes face à des perspectives d’emploi et de salaire de plus en plus sombres
- Précarité préexistante à la crise et manque de nouveaux emplois de qualité
- Fissures dans le filet de sécurité sociale, y compris en ce qui concerne la solidarité intergénérationnelle
- Augmentation du coût du logement
- Prestation insatisfaisante des services publics de l’emploi
- L’impossibilité d’accéder à des services de conseil en santé mentale et d’en assumer le coût
- Les groupes marginalisés ne sont pas suffisamment pris en compte
- Des relations fragiles entre les jeunes et les institutions publiques.
Les jeunes veulent des certitudes et de la sécurité lorsqu’ils commencent leur formation professionnelle et entrent sur le marché du travail. Les politiques doivent lutter contre l’exclusion sociale et promouvoir le bien-être des jeunes au-delà des résultats économiques. Pour faire avancer ce débat
- le TUAC organisera un webinaire public sur « Les jeunes en sortie de crise » le 28 juin (1-2:30 pm CEST) : les inscriptions sont ouvertes ici
- L’adhésion au réseau est ouverte et les candidatures des affiliés et partenaires du TUAC peuvent être envoyées à tuac@dev.tuac.org.
Le 19 mai, le TUAC a réuni pour la première fois son tout nouveau réseau jeunesse. Ce groupe de jeunes militants syndicaux, d’économistes et de coordinateurs contribuera à façonner les prises de position du TUAC pour une meilleure reprise économique et des emplois de qualité pour les jeunes. La génération qui est entrée sur le marché du travail pendant la crise financière il y a plus de dix ans a été durement touchée par ses effets. Les réformes structurelles qui ont permis une plus grande flexibilité du marché du travail sans ajouter de mesures de soutien ni de contrepoids pour les employeurs ont aggravé l’impact de la crise. Nombre de ces réformes étaient inspirées des recommandations de l’OCDE. Le moment est venu de corriger les erreurs du passé et d’adopter de meilleurs cadres de politiques publiques – avec le dialogue social et la négociation collective comme piliers centraux. Le réseau jeunesse du TUAC aura une double fonction :
- échanger et contribuer à l’élaboration des prises de positions du TUAC.
- contribuer aux travaux de l’OCDE et faire entendre leur voix.
Au cours de la réunion, les membres ont identifié plusieurs problèmes qui nécessitent une attention politique sérieuse :
- La qualité et le coût de l’éducation – y compris l’endettement lié aux’ études,
- L’absence d’une aide directe et suffisante au revenu, en particulier pendant la crise,
- Des exigences de qualification de plus en plus élevées par rapport à des perspectives d’emploi et de salaire de plus en plus mauvaises,
- Une précarité préexistante à la crise et une insuffisance de nouveaux emplois de qualité,
- Des faiblesses des dispositifs de sécurité sociale, notamment en ce qui concerne la solidarité intergénérationnelle,
- L’augmentation du coût du logement,
- Une qualité insatisfaisante des services publics de l’emploi,
- Des difficultés d’accès et de financement aux services de conseil en santé mentale,
- Une attention insuffisante portée aux groupes marginalisés,
- Des relations fragiles entre les jeunes et les institutions publiques.
Les jeunes veulent de la certitude et de la sécurité lorsqu’ils commencent leur formation professionnelle et entrent sur le marché du travail. Les politiques doivent combattre l’exclusion sociale et promouvoir le bien-être des jeunes au-delà des résultats économiques. Pour faire avancer ce débat le TUAC organisera un webinaire public sur le thème « Les jeunes en sortie de crise » le 28 juin (de 1 à 2 h 30 CEST) : les inscriptions sont ouvertes ici. L’adhésion au réseau est par ailleurs ouverte et les nominations par les affiliés et partenaires du TUAC peuvent être envoyées à tuac@dev.tuac.org .