Ce site web a été traduit pour votre commodité, mais aucune traduction automatique n'est parfaite. Le texte officiel est la version anglaise du site. Si vous avez des questions concernant l'exactitude de la traduction, veuillez vous référer à la version anglaise.

TUAC calls for a sustainable trade and investment agenda at the OECD/ Appel du TUAC à l’OCDE pour un agenda durable sur le commerce et l’investissement

Le TUAC se félicite de l’occasion qui lui est donnée de participer aux discussions de la « Semaine de l’investissement de l’OCDE » (22-23 octobre). Si l’ouverture du commerce international et les investissements étrangers offrent des opportunités de croissance et de ...

Partager l'article :


Le TUAC se félicite de l’occasion qui lui est donnée de participer aux discussions de la « Semaine de l’investissement de l’OCDE » (22-23 octobre). Si l’ouverture du commerce international et les investissements étrangers offrent des opportunités de croissance et de création d’emplois, il existe un certain nombre de risques bien connus si les politiques, tant au niveau national qu’international, ne sont pas conçues de manière appropriée – l’expérience des dernières décennies montre que nous n’en sommes pas encore là. Il n’est pas surprenant que le mouvement syndical suive avec inquiétude les agendas du commerce et de l’investissement. Au cours de cette semaine de l’investissement, plusieurs forums et réunions ont eu lieu, notamment la consultation traditionnelle du TUAC/BIAC avec le Comité de l’investissement de l’OCDE, la table ronde sur la liberté d’investissement, une réunion conjointe du Comité des échanges et du Comité de l’investissement, et le lancement d’une nouvelle série de tables rondes sur l’investissement au service du développement durable. Le TUAC a soulevé les priorités syndicales clés suivantes :

  • l’approche dite de la « cohérence réglementaire », selon laquelle les politiques nationales tendent à devenir suspectes, est préoccupante.
    Le respect de la réglementation peut avoir un coût pour les entreprises, mais le coût pour la société est plus élevé lorsque les réglementations protectrices ne sont pas respectées ;
  • Le TUAC s’opposera fermement à toute politique visant à retenir les investissements étrangers en réduisant le coût de la main-d’œuvre par le biais de la flexibilité du travail ;
  • En ce qui concerne la discussion sur les chaînes de valeur mondiales, le TUAC demande instamment aux Comités du commerce et de l’investissement de toujours évaluer si l’investissement direct étranger est lié à l’économie réelle.
    Les politiques en matière de commerce et d’investissement devraient être élaborées en étroite collaboration avec les comités de l’OCDE responsables des discussions sur le BEPS.
    En outre, les politiques en matière de commerce et d’investissement devraient toujours être liées aux attentes en matière de diligence raisonnable tout au long de la chaîne de valeur mondiale ;
  • Pour le financement du développement durable, le financement public/privé devrait toujours être évalué selon des critères clés afin d’évaluer la responsabilité, la transparence et le partage des risques, ainsi que l’impact réel sur la réalisation des ODD ;
  • Le TUAC se félicite que la qualité des emplois figure parmi les six indicateurs de qualité de l’IDE proposés.
    Les indicateurs de travail décent de l’OIT constituent un précédent utile.

FR

Le TUAC se réjouit de pouvoir participer aux discussions de la « semaine de l’investissement à l’OCDE » (22-23 octobre). Alors que le commerce international et les investissements étrangers offrent des opportunités de croissance et de création d’emplois, il existe un certain nombre de risques négatifs bien connus si les politiques, tant au niveau national qu’international, ne sont pas conçues de manière appropriée – l’expérience des décennies passées montre que nous n’y sommes pas. Il n’est pas surprenant que le mouvement syndical suive avec inquiétude les discussions liées au commerce et à l’investissement. Au cours de cette semaine de l’investissement, plusieurs forums et réunions ont eu lieu, notamment la traditionnelle consultation TUAC / BIAC avec le Comité des investissements de l’OCDE, la table ronde sur la liberté d’investissement, une réunion conjointe du Comité des échanges et du Comité des investissements et le lancement d’une nouvelle série de tables rondes sur les investissements pour un développement durable. Le TUAC a soulevé les priorités syndicales suivantes :

  • L’approche dite de « cohérence réglementaire », selon laquelle les politiques nationales ont tendance à devenir suspectes, est préoccupante.
    Se conformer à la réglementation peut entraîner des coûts pour les entreprises, mais le coût pour la société est encore plus élevé lorsque des législations protectrices ne sont pas respectées.
  • Le TUAC s’opposera fermement à toute politique prétendant retenir les investissements étrangers en réduisant le coût de la main-d’œuvre grâce à la flexibilité du marché du travail ;
  • En ce qui concerne la discussion sur les chaînes de valeur mondiales, le TUAC exhorte le comité des échanges et le comité investissements à toujours déterminer si les investissements directs étrangers sont bien liés à l’économie réelle.
    Les politiques en matière de commerce et d’investissement doivent être élaborées de concert avec les comités de l’OCDE responsables des discussions sur le BEPS.
    En outre, les politiques en matière de commerce et d’investissement doivent toujours être liées au devoir de vigilance tout au long de la chaîne de valeur ;
  • En ce qui concerne le financement du développement durable, tout financement public / privé se doit d’être évalué en fonction de critères clés afin d’évaluer la responsabilité, la transparence sur le partage des risques, ainsi que l’impact réel sur la réalisation des objectifs de développement durables ;
  • Le TUAC se félicite que la qualité de l’emploi figure parmi les six indicateurs de qualité proposés pour les investissements directs étrangers.
    Les indicateurs de l’OIT sur le travail décent constituent un précédent utile.