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OECD Ministerial Council Consultation – TUAC calls for a roadmap for fair and sustainable recovery that people can trust / Consultation du Conseil de l’OCDE au niveau des ministres – Le TUAC demande une feuille de route pour une reprise équitable et durable à laquelle les populations peuvent faire confiance

(Version française ci-dessous) (Traducción al español a continuación) Aujourd’hui, une délégation de haut niveau du TUAC a rencontré le Secrétaire général de l’OCDE, le président espagnol de la prochaine réunion du Conseil au niveau des ministres (MCM) et les ambassadeurs de ...

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Aujourd’hui, une délégation de haut niveau du TUAC a rencontré le Secrétaire général de l’OCDE, le président espagnol de la prochaine réunion du Conseil au niveau des ministres (MCM) et les ambassadeurs de l’OCDE lors des consultations annuelles du MCM avec les entreprises à l’OCDE et au TUAC. Les dirigeants syndicaux ont lancé un appel pressant aux gouvernements pour qu’ils soutiennent les travailleurs, les maintiennent dans leur emploi, s’attaquent à la concentration du marché et à l’évasion fiscale dans l’économie numérique, et rendent les chaînes de valeur mondiales plus prévisibles – tout en gardant à l’esprit les pays en développement et la transition vers une économie à faible émission de carbone. La prochaine réunion ministérielle (28-29 octobre 2020) se tiendra au milieu de la crise mondiale la plus profonde depuis la création de l’OCDE elle-même, avec une chute sans précédent du PIB mondial et une augmentation massive du chômage. Lors des consultations d’aujourd’hui, le TUAC a appelé l’OCDE et les gouvernements à se mettre d’accord sur une déclaration commune et une feuille de route pour une reprise juste et durable avec des emplois de qualité et des systèmes économiques résilients dans lesquels les gens peuvent avoir confiance. Il s’agit ainsi de démontrer l’engagement et la solidarité de l’OCDE et des pays membres face à cette crise historique. Si les gouvernements ne travaillent pas ensemble et ne prennent pas des mesures décisives, le monde risque de connaître une nouvelle décennie perdue pour des millions de travailleurs, les jeunes et les groupes les plus vulnérables de nos sociétés – y compris les migrants et les réfugiés. La crise touche également les femmes de manière disproportionnée, par divers biais (emploi, équilibre entre vie professionnelle et vie privée, augmentation de la violence domestique). Il est urgent d’agir pour soutenir ces travailleurs et maintenir la plupart d’entre eux dans leur emploi en prolongeant ou en étendant les dispositifs de maintien dans l’emploi, de chômage partiel et de soutien salarial. Les pays de l’OCDE dont la législation en matière de protection de l’emploi est moins contraignante enregistrent déjà une chute spectaculaire de l’emploi. Les gouvernements doivent imposer des conditions aux entreprises qui reçoivent une aide financière afin qu’elles ne licencient pas inutilement. Lors de la réunion d’aujourd’hui, le TUAC a souligné l’importance de maintenir et d’approfondir un soutien massif et durable à l’économie, y compris des mesures fiscales. En juin 2020, les Perspectives économiques de l’OCDE ont présenté différents scénarios de croissance soulignant l’urgence d’agir. Le cas d’une résurgence de la pandémie COVID-19 au second semestre 2020 était l’un des scénarios prévoyant une chute du PIB mondial de 7,6 %. Dans ce scénario de « double coup dur », le revenu réel des ménages devrait retomber aux niveaux de 2013, au risque d’une nouvelle décennie perdue. Le taux de chômage moyen atteindrait les deux chiffres, soit 10 %, et resterait élevé tout au long de 2021. Demain, l’OCDE publiera de nouveaux chiffres et, d’après ce que l’on peut en déduire, le tableau ne sera pas rassurant. L’OCDE et les gouvernements ne doivent pas répéter les erreurs du passé et commencer à battre en retraite et à retomber dans le « piège de l’austérité ». Il faut au contraire changer le discours et garantir la résilience des services publics, des protections sociales et des soins de santé pour tous. À cet égard, le TUAC a exhorté l’OCDE et les gouvernements à prendre en compte le rôle des partenaires sociaux à travers le dialogue social et les conventions collectives. Cependant, par rapport à la crise d’après 2008, les institutions du marché du travail – la négociation collective et les salaires minimums – ont une couverture plus faible et sont moins protectrices, ce qui laisse des lacunes pour de nombreux travailleurs confrontés à la crise aujourd’hui. Une grande partie de la « reprise » des niveaux d’emploi et de la compétitivité au cours de la dernière décennie a été stimulée par la dégradation des droits du travail et la compression des salaires.

Le secrétaire général du TUAC, Pierre Habbard, a souligné que « le dialogue social ne fonctionne pas sans des institutions du marché du travail qui fonctionnent bien, y compris la négociation collective ». Dans sa déclaration, Pierre Habbard a également souligné l’impact asymétrique de la crise et l’importance de veiller à ce que personne ne soit laissé pour compte. La prochaine réunion ministérielle sera cruciale. Les conséquences de la crise sont considérables et il est vital que nous assurions une reprise solide. Une reprise qui soit juste et durable. Pour le TUAC, la voie à suivre est claire. Le moment est venu pour l’OCDE de montrer qu’elle peut s’unir en une seule entité et tirer parti de tous ses atouts dans tous les domaines d’action et toutes les disciplines. L’OCDE et les gouvernements devraient, en collaboration avec les partenaires sociaux, utiliser le processus de la MCM pour élaborer une feuille de route en vue d’une reprise à laquelle les citoyens peuvent faire confiance.

La délégation du TUAC aux consultations OCDE 2020 sur les MCM

  • Yves Veyrier, Secrétaire général, FO (France) et membre du Comité administratif du TUAC
  • Unai Sordo, Secrétaire général, CCOO (Espagne)
  • Pepe Álvarez Suárez, secrétaire général, UGT (Espagne)
  • Josef Stredula, Secrétaire général, ČMKOS (République tchèque)
  • Rosa Pavanelli, Secrétaire générale, Internationale des Services Publics (ISP)
  • Luca Visentini, secrétaire général, Confédération européenne des syndicats (CES)
  • Lizette Risgaard, présidente, FHO (Danemark) et vice-présidente du TUAC
  • Sharan Burrow, secrétaire générale, Confédération syndicale internationale (CSI)
  • Liina Carr, secrétaire confédérale, Confédération européenne des syndicats (CES)
  • Hassan Yussuf, Président, CLC (Canada)
  • Pierre Habbard, secrétaire général, TUAC
  • Bohumil Cap, secrétaire adjoint international, ČMKOS (République tchèque)
  • Ruwan Subasinghe, directeur juridique, Confédération internationale des ouvriers du transport (ITF)
  • Anna Byhovskaya, conseillère politique principale, TUAC
  • Rasmus Nielsen, conseiller politique principal, TUAC

FR

Consultation du Conseil de l’OCDE au niveau des ministres – Le TUAC demande une feuille de route pour une reprise équitable et durable à laquelle les populations peuvent faire confiance

Aujourd’hui, une délégation de leaders syndicaux TUAC ont échangé avec le Secrétaire général de l’OCDE, la présidence espagnole de la prochaine Réunion du Conseil ministériel (RCM) et les ambassadeurs de l’OCDE lors des consultations annuelles, incluant aussi les représentants des employeurs Business at OECD’ Les dirigeants syndicaux ont lancé un appel pressant aux gouvernements pour qu’ils soutiennent les travailleurs, les maintiennent dans leur emploi, s’attaquent à la concentration du marché et à l’évasion fiscale dans l’économie numérique, et rendent les chaînes de production mondialisées plus sûres et équitables, tout en gardant à l’esprit les pays en développement et la transition vers une économie à bas carbone. La prochaine Réunion de la Conseil au niveau des Ministres (28-29 octobre 2020) se déroulera dans un contexte de crise mondiale, la plus profonde depuis la création de l’OCDE, avec une chute sans précédent du PIB mondial et une augmentation massive du chômage. Lors des consultations d’aujourd’hui, le TUAC a appelé l’OCDE et les gouvernements à se mettre d’accord sur une déclaration commune et une feuille de route pour une reprise équitable et durable, avec des emplois de qualité et des systèmes économiques résilients auxquels les populations peuvent faire confiance. Une telle feuille de route est nécessaire pour  »signaler l’engagement et la solidarité de l’OCDE et de ses pays membres face à cette crise historique. Si les gouvernements ne travaillent pas ensemble et ne prennent pas de mesures décisives, le prix à payer sera une nouvelle décennie perdue pour des millions de travailleurs, les jeunes et les groupes les plus vulnérables de nos sociétés, notamment les migrants et les réfugiés. La crise touche également les femmes de manière disproportionnée emploi, équilibre entre vie professionnelle et vie privée, augmentation de la violence domestique). Une action urgente est nécessaire pour soutenir ces travailleurs et maintenir la plupart d’entre eux en emploi en prolongeant ou en étendant les programmes de maintien dans l’emploi, de chômage partiel et de soutien des salaires. Les pays de l’OCDE dont la législation en matière de protection de l’emploi est moins stricte connaissent déjà une chute spectaculaire de l’emploi. Les gouvernements doivent imposer des conditions aux entreprises qui reçoivent un soutien financier pour qu’elles ne licencient pas inutilement des travailleurs. Lors de la réunion d’aujourd’hui, le TUAC a souligné l’importance de maintenir et d’approfondir un soutien massif et durable à l’économie, y compris des mesures fiscales. En juin 2020, les Perspectives économiques de l’OCDE ont présenté divers scénarios de croissance soulignant l’urgence d’agir. Le cas d’une résurgence de la pandémie de COVID-19 au second semestre de 2020 était l’un des scénarios prévoyant une chute du PIB mondial de 7,6 %. Selon ce scénario à double impact, le revenu réel des ménages devrait retomber au niveau de 2013, ce qui risquerait de faire perdre une autre décennie. Le taux de chômage moyen atteindrait les deux chiffres, soit 10 %, et resterait élevé tout au long de 2021. Demain, l’OCDE publiera de nouveaux chiffres qui ne seront certainement pas rassurants. L’OCDE et les gouvernements ne doivent pas répéter les erreurs du passé, battre en retraite et retomber dans le « piège de l’austérité ». Il faut au contraire changer le discours ambiant et garantir des services publics, des protections sociales et des soins de santé solides pour tous.

À cet égard, le TUAC a exhorté l’OCDE et les gouvernements à prendre en compte le rôle des partenaires sociaux par le biais du dialogue social et des conventions collectives. Toutefois, par rapport à la crise de l’après-2008, les institutions du marché du travail – négociations collectives et salaires minimums – ont une couverture plus faible et sont moins protectrices, ce qui laisse des lacunes pour de nombreux travailleurs confrontés à la crise aujourd’hui. Une grande partie de la « reprise » des niveaux d’emploi et de la compétitivité au cours de la dernière décennie a été stimulée par la dégradation des droits du travail et la compression des salaires. Le secrétaire général du TUAC, Pierre Habbard, a souligné que « le dialogue social ne fonctionne pas sans des institutions du marché du travail qui fonctionnent bien, y compris la négociation collective ». Dans sa déclaration, Pierre Habbard a également souligné l’impact asymétrique de la crise et l’importance de veiller à ce que personne ne soit laissé pour compte. La prochaine réunion du Conseil de gestion du marché du travail sera cruciale. Les graves conséquences de la crise sont considérables et il est vital que nous assurions une forte reprise. Une reprise qui soit juste et durable. Pour le TUAC, la voie à suivre est claire. Le moment est venu pour l’OCDE de montrer qu’elle peut se rassembler en une seule entité et tirer parti de toutes ses forces dans tous les domaines et disciplines politiques. L’OCDE et les gouvernements devraient, en collaboration avec les partenaires sociaux, utiliser le processus de gestion de la dette multilatérale pour élaborer une feuille de route vers une reprise à laquelle les citoyens peuvent faire confiance.

 

La délégation du TUAC lors des consultations de l’OCDE sur la gestion de la dette multilatérale pour 2020

  • Yves Veyrier, Secrétaire général, FO (France) et membre du Comité administratif du TUAC
  • Unai Sordo, Secrétaire général, CCOO (Espagne)
  • Pepe Álvarez Suárez, secrétaire général, UGT (Espagne)
  • Josef Stredula, Secrétaire général, ČMKOS (République tchèque)
  • Rosa Pavanelli, Secrétaire générale, Internationale des Services Publics (ISP)
  • Luca Visentini, secrétaire général, Confédération européenne des syndicats (CES)
  • Lizette Risgaard, présidente, FHO (Danemark) et vice-présidente du TUAC
  • Sharan Burrow, secrétaire générale, Confédération syndicale internationale (CSI)
  • Liina Carr, secrétaire confédérale, Confédération européenne des syndicats (CES)
  • Hassan Yussuf, Président, CLC (Canada)
  • Pierre Habbard, secrétaire général, TUAC
  • Bohumil Cap, secrétaire adjoint international, ČMKOS (République tchèque)
  • Ruwan Subasinghe, directeur juridique, Confédération internationale des ouvriers du transport (ITF)
  • Anna Byhovskaya, conseillère politique principale, TUAC
  • Rasmus Nielsen, conseiller politique principal, TUAC

ES

Consultation du Conseil de l’OCDE au niveau ministériel – Le TUAC propose une voie pour une récupération juste et durable qui suscite la confiance des personnes

Aujourd’hui, une délégation de dirigeants syndicaux du TUAC s’est réunie avec le Secrétaire général de l’OCDE, la Présidence espagnole de la prochaine réunion du Conseil au niveau ministériel (RCM) et les ambassadeurs de l’OCDE lors des consultations annuelles du RCM, ainsi qu’avec les représentants des entreprises à l’OCDE. Les dirigeants syndicaux ont lancé des appels énergiques pour que les gouvernements soutiennent les travailleurs et les maintiennent dans leurs postes de travail, ne permettent pas la concentration du marché ni l’évasion fiscale dans l’économie numérique et veillent à ce que les chaînes de production mondiales soient plus sûres et plus justes, sans oublier de tenir compte des pays en développement et de la transition vers une économie à faible teneur en carbone. La prochaine réunion du Conseil au niveau ministériel (28-29 octobre 2020) se tiendra dans un contexte de crise mondiale, la plus profonde depuis la création de l’OCDE, avec une baisse sans précédent du PIB mondial et une augmentation massive du chômage. Lors des consultations d’aujourd’hui, le CSC a demandé à l’OCDE et aux gouvernements de s’entendre sur une déclaration commune et un plan d’action pour une reprise juste et durable avec des emplois de qualité et des systèmes économiques résilients dans lesquels les personnes peuvent avoir confiance. Ce voyage est nécessaire pour démontrer le compromis et la solidarité de l’OCDE et de ses États membres face à cette crise historique. Si les gouvernements ne travaillent pas ensemble et ne prennent pas de mesures décisives, le monde risque de connaître une autre décennie perdue pour des millions de travailleurs, de jeunes et les groupes les plus vulnérables de nos sociétés, y compris les migrants et les réfugiés. La crise a également des répercussions sur les populations et de diverses manières (emploi, équilibre entre la vie professionnelle et personnelle, augmentation de la violence domestique). Des mesures urgentes doivent être prises pour aider ces travailleurs et les maintenir en grande partie sur leur lieu de travail, en prolongeant ou en étendant les programmes de maintien dans l’emploi, de réduction du temps de travail et d’augmentation des salaires. Les pays de l’OCDE dont la législation en matière de protection du travail est moins stricte connaissent déjà une baisse drastique de l’emploi. Les gouvernements doivent imposer des conditions aux entreprises qui reçoivent une aide financière afin qu’elles ne reviennent pas inutilement à la charge des travailleurs. Lors de la réunion d’aujourd’hui, le TUAC a souligné l’importance de maintenir et d’approfondir un soutien massif et durable à l’économie, y compris des mesures fiscales. En juin 2020, les perspectives économiques de l’OCDE ont présenté divers scénarios de croissance qui soulignaient l’urgente nécessité d’agir. L’un des scénarios possibles était une résurgence de la pandémie de la grippe aviaire de 19 ans au cours du deuxième semestre de 2020, ce qui impliquerait une baisse de 7,6 % du PIB mondial. En raison de ce double impact, le revenu réel des ménages se situera au niveau de 2013, avec le risque d’une autre décennie perdue. Le taux moyen de chômage a augmenté de deux points, soit de 10 %, et restera élevé jusqu’en 2021. Demain, l’OCDE présentera de nouveaux chiffres et tout porte à croire qu’ils ne seront pas très élevés. L’OCDE et les gouvernements ne doivent pas répéter les erreurs du passé, s’éloigner des vaincus et s’enfoncer dans le « piège de l’austérité ».

Au contraire, il faut changer de discours et garantir des services publics résilients, des protections sociales et des soins de santé pour tous. À cet égard, le TUAC a demandé à l’OCDE et aux gouvernements de tenir compte du rôle des interlocuteurs sociaux par le biais du dialogue social et des conventions collectives. Cependant, par rapport à la crise qui a suivi 2008, les institutions actuelles du marché du travail (négociation collective et salaires minimaux) ont une plus faible portée et sont moins protectrices, ce qui entraîne des retards pour de nombreux travailleurs qui sont confrontés à la crise d’aujourd’hui. Une grande partie de la « récupération » des niveaux d’emploi et de compétitivité au cours de la dernière décennie a résulté de la dégradation des droits du travail et de la compression des salaires. Pierre Habbard, secrétaire général du TUAC, a souligné que « le dialogue social ne fonctionne pas sans les institutions du marché du travail qui fonctionnent bien, y compris la négociation collective ». Dans sa déclaration, Pierre Habbard a également souligné l’impact économique de la crise et l’importance de garantir que personne ne se retrouve à la traîne. La prochaine réunion du Conseil au niveau ministériel sera déterminante. Les graves conséquences de la crise sont considérables et il est vital de garantir une récupération rapide. Une reprise juste et durable. Pour le TUAC, la voie à suivre est claire. C’est le moment où l’OCDE doit démontrer qu’elle peut s’unir en tant qu’entité unique et exploiter toutes ses forces dans tous les domaines et toutes les disciplines politiques. L’OCDE et les gouvernements devraient, en collaboration avec les interlocuteurs sociaux, utiliser le processus de la réunion du Conseil au niveau ministériel pour élaborer un plan d’action qui nous conduise à une récupération qui suscite la confiance de la population. La délégation de la TUAC aux consultations de la MRC de l’OCDE 2020

  • Yves Veyrier, Secrétaire général, FO (France) et membre du Comité administratif de la TUAC
  • Unai Sordo, Secrétaire général, CCOO (España)
  • Pepe Álvarez Suárez, secrétaire général, UGT (España)
  • Josef Stredula, Secrétaire général, ČMKOS (República Checa)
  • Rosa Pavanelli, secrétaire générale, Internacional de Servicios Públicos (ISP)
  • Luca Visentini, Secrétaire général, Confederación Europea de Sindicatos (CES)
  • Lizette Risgaard, Présidente, FHO (Dinamarca) et Vice-présidente de la TUAC
  • Sharan Burrow, secrétaire générale, Confederación Sindical Internacional (CSI)
  • Liina Carr, secrétaire confédérale, Confédération européenne des syndicats (CES)
  • Hassan Yussuf, Président, CLC (Canada)
  • Pierre Habbard, Secrétaire général, TUAC
  • Bohumil Cap, Secretario Adjunto Internacional, ČMKOS (República Checa)
  • Ruwan Subasinghe, Directeur juridique, Federación Internacional de los Trabajadores del Transporte (ITF)
  • Anna Byhovskaya, Asesora Senior en Políticas, TUAC
  • Rasmus Nielsen, Asesor Senior en Políticas, TUAC