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Messages des syndicats au Forum 2021 de l’OCDE sur l’entreprise responsable

Le Forum 2021 de l’OCDE sur la conduite responsable des entreprises a lancé une consultation publique sur le bilan des Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales. La consultation de l’OCDE se concentre sur les réalisations, les défis et ...

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Le Forum 2021 de l’OCDE sur la conduite responsable des entreprises a lancé une consultation publique sur le bilan des Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales. La consultation de l’OCDE se concentre sur les réalisations, les défis et les opportunités d’amélioration de la mise en œuvre des principes directeurs de l’OCDE pour des impacts réels. Les représentants syndicaux participant au Forum mondial de cette année ont accueilli favorablement le bilan qui pourrait potentiellement ouvrir la voie à un processus de révision ou à une « mise à jour » des Principes directeurs en 2022. La dernière mise à jour a eu lieu en 2011. Les syndicats ont souligné les lacunes dans la mise en œuvre des Principes directeurs de l’OCDE concernant la liberté d’association et la négociation collective. Les représentants ont proposé des solutions pour que les instruments gouvernementaux de commerce et d’investissement convergent vers des objectifs financiers et de durabilité. Christy Hoffman, secrétaire générale d’UNI Global Union, a ouvert le forum en lançant un vibrant appel à l’action aux entreprises et aux gouvernements. « Les entreprises doivent faire tomber les murs de l’opposition à la liberté d’association et à la négociation collective. Selon Lucia van Westerlaak, représentante de la FNV et présidente du groupe de travail du TUAC sur les entreprises multinationales, « les droits des travailleurs sont toujours bafoués dans de nombreuses régions du monde. Pensez aux Ouïghours et à leur travail forcé en Chine, aux travailleurs migrants malaisiens qui produisent des gants pour la protection médicale tout en ayant eux-mêmes des conditions de santé et de logement médiocres. Des règles contraignantes sont nécessaires pour que les lignes directrices fonctionnent. Tamara Munoz, de la CUT Chili, a expliqué comment les travailleurs chiliens vivent les directives et les recommandations de RBC en matière de diligence raisonnable. « Au Chili, le lien entre les lignes directrices et les droits de l’homme ne nous protège pas suffisamment. En 2020, ce que nous avons vécu ne semblait pas différent des violations auxquelles les travailleurs étaient confrontés avant la pandémie. Les normes volontaires n’ont pas fonctionné, le « devrait » doit devenir un « doit ». Nous avons besoin d’un moyen de vérifier la diligence raisonnable, sinon cela ne veut rien dire. Lors de la séance de clôture, Pierre Habbard, secrétaire général du TUAC, a appelé à faire preuve d’ambition pour garantir que l’impact des entreprises responsables est réel et ne se limite pas à un simple rapport. « La consultation publique est un test de réalité pour les Principes directeurs de l’OCDE sur le fond – à la lumière de l’accélération de la numérisation et des crises combinées du climat et des inégalités – mais aussi sur le processus – pour savoir si son mécanisme d’accès aux recours est adapté à l’objectif visé. Sur ce dernier point, les fonctionnements divers, voire divergents, des Points de contact nationaux et l’absence de conséquences en cas de non-coopération dans le processus sont déjà examinés de près ».

Messages syndicaux au Forum 2021 de l’OCDE sur l’entreprise responsable

Le Forum 2021 de l’OCDE sur la Conduite Responsable des Entreprises a lancé une consultation publique sur le bilan des Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales. La consultation de l’OCDE se concentre sur les succès, les défis et les opportunités d’amélioration de la mise en œuvre des Principes directeurs de l’OCDE pour un véritable impact. Les représentants syndicaux participant au Forum mondial de cette année se sont félicités de ce bilan qui pourrait potentiellement ouvrir la voie à un processus de révision ou à une « mise à jour » des Principes directeurs en 2022. La dernière mise à jour a eu lieu en 2011. Les dirigeants syndicaux ont souligné les lacunes de la mise en œuvre des Principes directeurs de l’OCDE concernant la liberté d’association et la négociation collective. Les intervenants ont proposé des solutions pour que les instruments de commerce et d’investissement international convergent vers des objectifs financiers et de durabilité. Christy Hoffman, secrétaire générale d’UNI Global Union, a appelé les entreprises et les gouvernements à agir. « Les entreprises doivent faire cesser l’opposition à la liberté d’association et à la négociation collective. Selon Lucia van Westerlaak, représentante de la FNV et présidente du groupe de travail du TUAC sur les entreprises multinationales, « les droits des travailleurs sont encore violés dans de nombreuses régions du monde. Pensez aux Ouïghours et à leur travail forcé en Chine, aux travailleurs migrants malaisiens qui produisent des gants pour la protection médicale alors qu’ils ont eux-mêmes de mauvaises conditions de santé et de logement. Des règles contraignantes sont nécessaires pour que les Principes directeurs fonctionnent. » Tamara Munoz, CUT Chili, a parlé de la façon dont les travailleurs chiliens vivent les Principes directeurs et les recommandations sur le devoir de vigilance. « Au Chili, le lien entre les Lignes directrices et les droits de l’homme ne nous protège pas suffisamment. En 2020, ce que nous avons vécu ne semblait pas différent des violations auxquelles les travailleurs étaient confrontés avant la pandémie. Les normes volontaires n’ont pas fonctionné, « Should » doit devenir « Shall ». Nous avons besoin d’un moyen de vérifier le devoir de vigilance, sinon cela ne veut rien dire. » Lors de la séance de clôture, le secrétaire général du TUAC, Pierre Habbard, a appelé à faire preuve d’ambition pour garantir que les impacts des entreprises responsables soient réels et pas seulement rapportés. « La consultation publique sert à vérifier la réalité des Principes directeurs de l’OCDE sur le fond – à la lumière de l’accélération de la numérisation et des crises combinées du climat et des inégalités – mais aussi sur le processus – à savoir si son mécanisme d’accès aux recours est adapté à son objectif. Sur ce dernier point, les fonctionnements divers, voire divergents, des points de contact nationaux et l’absence de conséquences en cas de non-coopération dans le processus font déjà l’objet d’un examen minutieux. »

Les syndicats au Forum 2021 de l’OCDE sur les entreprises responsables

Le Forum 2021 de l’OCDE sur la conduite responsable des entreprises a lancé une consultation publique sur l’équilibre des directives de l’OCDE pour les entreprises multinationales. La consultation de l’OCDE est centrée sur les objectifs, les retards et les possibilités d’améliorer l’application des directives de l’OCDE afin d’obtenir des résultats concrets. Les représentants syndicaux qui ont participé au Forum mondial de cette année ont accueilli avec satisfaction le bilan, qui pourrait ouvrir la voie à un processus de révision ou à une « actualisation » des directives en 2022. La dernière actualisation a eu lieu en 2011. Les syndicats ont souligné le manque d’application des directives de l’OCDE en matière de liberté d’association et de négociation collective. Les représentants ont proposé des solutions pour que les instruments gouvernementaux de commerce et d’investissement se transforment en objectifs financiers et de durabilité. Christy Hoffman, secrétaire générale d ‘UNI Global Union, a ouvert le forum en lançant un appel pressant aux entreprises et aux gouvernements pour qu’ils agissent. « Les entreprises doivent détruire les murs d’opposition à la liberté d’association et à la négociation collective ». Selon Lucia van Westerlaak, représentante de la FNV et présidente du groupe de travail du TUAC sur les entreprises multinationales, « les droits des travailleurs restent vulnérables dans de nombreuses régions du monde. Nous pensons aux travailleurs et à leur travail forcé en Chine, aux travailleurs migrants de Malaisie qui produisent des garanties de protection médicale et qui, de surcroît, souffrent de mauvaises conditions de santé et de vie. Il faut des normes contraignantes pour que les directives fonctionnent ». Tamara Muñoz, de la CUT Chili, a expliqué comment les travailleurs chiliens vivent les directives et les recommandations de diligence de la RBC. « Au Chili, le lien entre les directives et les droits de l’homme ne nous permet pas d’être suffisamment protégés. En 2020, ce que nous avons vécu ne semblait pas différent des violations subies par les travailleurs avant la pandémie. Les normes volontaires n’ont pas fonctionné, le « devoir » doit se transformer en « devoir ». Nous avons besoin d’une forme de vérification de la diligence qui ne signifie rien ». Lors de la séance de clôture, le secrétaire général du TUAC, Pierre Habbard, a fait part de son ambition de garantir que les impacts sur les entreprises responsables soient réels et ne se limitent pas à l’information. « La consultation publique permet de vérifier la réalité des directives de l’OCDE en ce qui concerne leur contenu – à la lumière de l’accélération de la numérisation et des crises combinées du climat et des inégalités -, mais aussi en ce qui concerne le processus : si le mécanisme d’accès à la réparation est adapté à l’objectif visé. En ce qui concerne ce dernier point, le fonctionnement différent, voire divergent, des points de contact nationaux et les conséquences d’un manque de coopération dans le cadre du processus sont toujours à l’étude.