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Les syndicats et les compétences II

Pourquoi le dialogue social et la négociation collective sont-ils importants pour les systèmes de compétences et la formation ? Les marchés du travail modernes exigent une formation initiale de qualité et un accès continu au perfectionnement des compétences et à la revalorisation. Les ...

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Pourquoi le dialogue social et la négociation collective sont-ils importants pour les systèmes de compétences et la formation ?

Les marchés du travail modernes exigent une formation initiale de qualité et un accès continu au perfectionnement des compétences et à la revalorisation. Les débats relatifs aux politiques font de ces exigences la première des solutions pour l’avenir du travail. Cependant, la réalité est que les différences et les désavantages persistent dans les compétences ; les systèmes publics d’éducation et de formation ne disposent pas de fonds suffisants ; et les groupes les plus importants de la population se retrouvent à l’extérieur en raison de l’insuffisance d’incitations et d’opportunités pour améliorer leurs compétences ou se requalifier.

Le nouveau document de débat du TUAC analyse comment les syndicats peuvent contribuer à résoudre certains de ces problèmes en s’appuyant sur un ensemble de meilleures pratiques.
La version complète peut être téléchargée ici et à droite – y compris le résumé exécutif en espagnol.

Le présent document démontre que les syndicats sont des sociétés essentielles à une époque où se profilent de nouvelles nécessités professionnelles dues aux exigences de l’économie numérique et de l’économie verte.
Dans le monde de l’avenir du travail, les systèmes d’apprentissage permanent nécessitent une révision générale et il serait très positif que les travailleurs bénéficient du droit reconnu par la loi au temps libre rémunéré pour apprendre et se former, en fonction du système du pays.
Les employeurs ont également besoin d’incitants. Une enquête menée auprès de dirigeants d’entreprises a montré que, même s’ils souhaitent que les travailleurs soient préparés à l’intelligence artificielle (IA), « seuls 3 % d’entre eux se sont réinvestis dans la formation ».
Dans cette situation, les travailleurs les plus vulnérables risquent de rester à la traîne.
La négociation collective, les accords d’apprentissage et l’appui institutionnel à une concertation sociale cohérente ont pour effet de rendre les systèmes d’apprentissage et de formation plus inclusifs.

Tipología - Participación de los sindicatos en los sistemas de competencias y formación

L’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE) a exprimé sans ambages l’urgente nécessité de préparer les systèmes actuels à un « défi qui présente d’énormes besoins de formation ». Le mantra « competencias, competencias, competencias » s’entend dans tous les pasillos de l’organisation (et plus loin encore) lorsqu’il s’agit d’aborder la numérisation et les disparités de revenus et d’opportunités. Cependant, l’OCDE n’accorde qu’une reconnaissance limitée aux fonctions que remplissent les institutions du marché du travail, la négociation collective et les stratégies syndicales proactives en ce qui concerne la conception, la gouvernance et la fourniture de formation. Les récents résultats de l’OCDE ont mis l’accent sur les interlocuteurs sociaux. Une vision plus détaillée de ce que cela signifie pourrait contribuer à stimuler le débat politique : les interlocuteurs sociaux sont indispensables à la mise en place d’une formation accessible et efficace. Le premier document de débat du TUAC sur les syndicats et les compétences Union & Skills(2016) décrivait les différentes formes sous lesquelles les syndicats contribuent au développement des compétences. Cette nouvelle édition propose une mise à jour et lève encore plus le pied en présentant de nouvelles études de cas et une typologie des activités syndicales (et le potentiel qu’elles recèlent) dans les écosystèmes de compétences. La typologie montre la participation syndicale :

  • en el desarrollo continuo de las políticas sobre las competencias, en tant que miembros de organismos de supervisión nacionales, sectoriales o locales, y en el diseño de marcos de formación y acreditación ;
  • en el establecimiento de normas para los programas de formación y de educación y formación profesionales, incluyendo el acceso, la remuneración y el contenido del programa (también a través de los convenios colectivos) ;
  • et comme fournisseurs de formation tant de manière directe que par l’intermédiaire de points de contact pour les travailleurs qui cherchent à s’orienter dans la progression de leur carrière professionnelle.

En un esfuerzo por llenar los vacíos y crear una base empírica, el presente documento presenta estudios de caso de Alemania, Australia, Austria, Bélgica, Canadá, Chile, Dinamarca, Francia, Finlandia, Islandia, Irlanda, Japón, Noruega, Países Bajos, Suecia y Reino Unido (Inglaterra y Escocia), basándose en las contribuciones de los miembros y socios de la TUAC. Il aborde également le potentiel des cours de formation sur les accords mondiaux (AMG) entre les entreprises multinationales ayant des activités à l’échelle mondiale et les fédérations syndicales internationales.