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Le TUAC se rend au sommet de l’OCDE sur les compétences et organise un atelier conjoint de l’OCDE sur les systèmes de compétences

Quelques jours après le Sommet de l’OCDE sur les compétences à Porto, un atelier conjoint du TUAC et du Centre de l’OCDE pour les compétences se tiendra à l’OCDE le 2 juillet 2018 . Cet événement vise à faciliter les échanges entre les membres du TUAC et de l’OCDE, ...

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Quelques jours après le Sommet de l’OCDE sur les compétences à Porto, un atelier conjoint du TUAC et du Centre de l’OCDE pour les compétences se tiendra à l’OCDE le 2 juillet 2018 . Cet événement vise à faciliter les échanges entre les membres du TUAC et de l’OCDE, le Secrétariat de l’OCDE et les invités sur la gouvernance des systèmes de formation tertiaire et de formation des adultes, les rôles des syndicats et les défis politiques pour l’avenir du travail. Vous trouverez plus d’informations dans la rubrique « contenu connexe ». Dans ses commentaires au Sommet et à la lumière de la révision de la Stratégie de l’OCDE pour les compétences (télécharger ci-dessous), le TUAC souligne l’importance d’une éducation formelle de qualité pour tous en tant que base sur laquelle l’apprentissage tout au long de la vie doit être construit. Cette base doit être plus solide qu’auparavant en raison de la montée en flèche probable des besoins de requalification et d’amélioration des compétences. Les travailleurs sont confrontés à de nombreuses transformations sur le marché du travail en raison de la transformation numérique en cours, de l’abandon progressif des industries à forte intensité de carbone – ainsi que des changements démographiques et des modifications des systèmes de retraite. Dans ce contexte en particulier, les capacités d’apprentissage doivent être développées dans tous les groupes d’âge et tous les groupes sociaux. La formation doit faire partie de cadres de transition justes pour les travailleurs afin de permettre des parcours professionnels dynamiques et gratifiants. Les décideurs politiques et les partenaires sociaux doivent s’efforcer de comprendre comment le lieu de travail apprend réellement et comment les compétences sont certifiées et utilisées – y compris en ce qui concerne l’apprentissage informel. Il convient de décloisonner les politiques afin de s’assurer que les politiques d’innovation et d’énergie prennent en compte les aspects liés à l’emploi et aux compétences, et vice versa. Il en va de même pour assurer la cohérence entre les travaux de l’OCDE sur les compétences et la formation et la Stratégie révisée de l’OCDE pour l’emploi, le Cadre pour une croissance inclusive et le projet horizontal « Passer au numérique ». Permettre l’égalité d’accès à l’éducation et à la formation, concevoir des programmes de qualité et orientés vers l’avenir, assurer un financement et une mise en œuvre efficaces et partagés sont des facteurs cruciaux. Ils doivent être menés par des systèmes de gouvernance qui incluent les deux partenaires sociaux et donnent des droits légaux et des ressources aux syndicats pour soutenir les travailleurs au niveau national, sectoriel et de l’entreprise. Les syndicats sont particulièrement bien placés pour

    • Identifier les mesures d’éducation, de formation et de développement des compétences dont les travailleurs ont le plus besoin ;
    • Négociez le salaire et le temps de travail pour la formation ;
    • sensibiliser leurs membres à l’existence de ces mesures ; et
    • Dans certains cas, vous pouvez fournir directement certains de ces services.