Ce site web a été traduit pour votre commodité, mais aucune traduction automatique n'est parfaite. Le texte officiel est la version anglaise du site. Si vous avez des questions concernant l'exactitude de la traduction, veuillez vous référer à la version anglaise.
25 novembre 2020

G20 Leaders’ Declaration Lacks Plans for Jobs and Social Protection / La déclaration des dirigeants du G20 ne prévoit aucun plan pour l’emploi et la protection sociale

(traduction française à la suite) La déclaration des chefs d’État et de gouvernement du G20 publiée le 22 novembre couvre de nombreux sujets très importants, mais ne donne pas le coup de pouce coordonné dont l’emploi et la protection sociale ont besoin de toute urgence. Le ...

Partager l'article :


(traduction française à la suite)

La déclaration des chefs d’État et de gouvernement du G20 publiée le 22 novembre couvre de nombreux sujets très importants, mais ne donne pas le coup de pouce coordonné dont l’emploi et la protection sociale ont besoin de toute urgence.

Le soutien à l’accès équitable aux traitements et aux éventuels vaccins est bienvenu, mais il n’y a pas de nouvelle initiative sur le soutien aux pays en développement et aucun progrès sur la réforme de la fiscalité internationale. Sharan Burrow, secrétaire générale de la CSI, a déclaré : « Le monde est confronté au plus grand défi de mémoire d’homme en matière d’emploi, mais les dirigeants du G20 n’ont pas fait preuve du leadership nécessaire. La Déclaration reconnaît l’ampleur du défi sans proposer de véritables solutions. Une action coordonnée, avec un soutien aux pays les moins riches, est nécessaire pour la reprise et la résilience. Le manque d’ambition mondiale de cette déclaration du G20 est extrêmement décevant et laissera les pays livrés à eux-mêmes pour lutter contre les terribles conséquences économiques de la pandémie ». Parmi les éléments positifs de la déclaration, citons les références à la nécessité d’agir dans des secteurs tels que le tourisme et l’agriculture, à la lutte contre la corruption et à l’importance de l’éducation, bien qu’il n’y ait aucun engagement concernant le financement de l’éducation ou le soutien aux enseignants ou aux autres personnes travaillant dans les écoles. Des propositions modestes sur l’action climatique et la biodiversité sont également incluses, tout comme la nécessité de réformer et de financer le Fonds monétaire international (FMI). Pierre Habbard, secrétaire général de la Commission syndicale consultative (TUAC) auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), a déclaré : « Le G20 a été créé à l’origine pour soutenir les économies touchées par la crise en 2008-2009 et pour coordonner les politiques vers des modèles de croissance durable, y compris la réduction des inégalités. Aujourd’hui, nous risquons de nous lasser du G20. L’année prochaine sera décisive pour relever la barre et l’ambition de ce forum mondial, et pour le ramener à son mandat initial : nous sortir de cette crise mondiale ». « Le monde attend des percées sur des questions cruciales pour l’économie mondiale, mais malheureusement elles n’ont pas eu lieu. Nous nous réjouissons de travailler avec la présidence italienne du G20 pour obtenir des progrès réels sur ces questions », a ajouté Sharan Burrow.

Si la déclaration des dirigeants du G20, publiée le 22 novembre dernier, se penche sur un grand nombre de thèmes particulièrement importants, elle ne propose aucune initiative coordonnée – plus que nécessaire – pour l’emploi et la protection sociale.

Nous saluons les mesures visant à garantir un accès équitable aux traitements et aux éventuels vaccins, mais nous regrettons qu’aucune nouvelle initiative n’ait été prise pour soutenir les pays en développement ou progresser en faveur d’une réforme fiscale internationale. Sharan Burrow, secrétaire générale de la CSI, a déclaré :  » De mémoire d’homme, le monde est face à son plus grand défi en matière d’emploi. Et pourtant, les dirigeants du G20 n’ont pas pris les initiatives nécessaires. La déclaration se limite à reconnaître l’ampleur du problème, sans proposer de véritables solutions. Une action coordonnée, qui soutienne les pays les moins riches, est nécessaire pour la reprise et la résilience. Le manque d’ambition mondiale de cette déclaration du G20 est extrêmement décevant. Les pays y sont livrés à eux-mêmes pour surmonter les conséquences économiques dramatiques de la pandémie. « La déclaration compte néanmoins quelques éléments positifs, notamment ses références à la nécessité de prendre des mesures pour soutenir des secteurs tels que le tourisme et l’agriculture et lutter contre la corruption. Elle souligne également l’importance de l’éducation, bien qu’aucun engagement n’ait été pris pour financer ce secteur ou soutenir les enseignants et le personnel des écoles. Quelques timides propositions vont dans le sens d’une action pour le climat et la biodiversité, d’autres rappellent la nécessité de réformer et financer le Fonds monétaire international (FMI). Pierre Habbard, secrétaire général de la Commission syndicale consultative (TUAC) auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), a déclaré :  » Le G20 a été créé initialement pour venir en aide aux économies touchées par la crise de 2008-2009 et coordonner des politiques en vue de définir des modèles de croissance durable et réduire, entre autres, les inégalités. Aujourd’hui, nous sommes face à un G20 qui risque bien de s’essouffler. L’année prochaine sera décisive pour relever la barre et renforcer l’ambition de ce forum mondial, afin de le ramener à son mandat initial : nous sortir de cette crise mondiale. « Sharan Burrow ajoute à cela :  » La planète entière attend des mesures ambitieuses, capables de répondre à des questions d’importance cruciale pour l’économie mondiale, mais rien de tout cela n’est sorti de la réunion. Nous attendons de pouvoir travailler avec la présidence italienne du G20 pour pouvoir réaliser de véritables progrès dans ce domaine.  »